Roadie #42 - Blog #112

Après que mon premier jour à Buenos Aires ait été merveilleusement détendu et touristique, c'est la tête baissée que j'ai préparé le spectacle. C'est un peu étrange de revenir à des concerts dans des stades après une longue période de vie relativement normale. Je me souviens très bien avoir abordé les concerts européens en me sentant très, très à l'aise et détendu. Cent cinquante concerts sur une seule tournée, ça vous fait ça.....

Ici par contre, le stade semble absolument énorme (essentiellement parce qu'il l'est...). Tout le monde essaie de se rappeler exactement ce qu'il faisait pour s'assurer que son petit rouage dans la machine continuait à tourner sans problème.

Hier, nous avons fait un grand essai avec le groupe, dans un stade vide. Cela a bien secoué la poussière, mais j'ai l'impression que 50 000 Argentins hurlant est ce dont nous avons vraiment besoin pour nous remettre confortablement dans le bain.

Je suis assis à l'extérieur du vestiaire où je crois que Guy et Will discutent avec une équipe de tournage du Brésil. Je peux entendre la foule qui commence à remplir le terrain à l'extérieur. Je ferais mieux d'aller m'occuper des câbles ou quelque chose pour garder les nerfs à distance.

Voici quelques images des répétitions de la production d'hier qui montrent où nous en sommes.

R#42